Les campements propalestiniens trouvent écho à Gaza et en Israël
PHOTO : X / @RamAbdu
Vous naviguez sur le site de Radio-Canada
Aide à la navigationLes brèves sont d’abord conçues pour être consultées dans l’appli RC Info (sur iOS seulement. À venir sur Android). Pour y accéder, balayez ce code QR. À tout de suite!
Les brèves sont d’abord conçues pour être consultées à partir de l’appli RC Info (Nouvelle fenêtre) (sur iOS seulement. À venir sur Android). Voici un aperçu des brèves les plus récentes.
PHOTO : X / @RamAbdu
PHOTO : Reuters / Mohammed Salem
Les campements propalestiniens établis sur les campus de l’Université McGill, à Montréal, et les campus d’autres institutions nord-américaines sèment un peu de bonheur à Gaza, où des résidents prennent même le temps d’exprimer leur gratitude.
Des messages tels que « Merci aux étudiants pour votre soutien » sont régulièrement aperçus sur des affiches tenues par des Gazaouis.
PHOTO : Reuters / RAMADAN ABED
PHOTO : Getty Images / LEO CORREA
Par contre, ces campements dérangent le gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou. Le chef d’État a d’ailleurs condamné le mouvement à la fin d’avril, en comparant ces protestations à des « manifestations antisémites comme celles qui ont eu lieu en Allemagne il y a 100 ans ». Il faisait référence aux événements qui ont contribué à l’accession au pouvoir des nazis.
Malgré le contexte tendu qui préoccupe la communauté internationale, des discussions de paix se poursuivent entre les deux camps. L’agence Associated Press (AP) rapportait récemment que des fuites sur la proposition de trêve entre Israël et le Hamas laissent entrevoir des compromis de part et d'autre pour mettre fin à la guerre. La phase initiale de l'accord durerait 40 jours avec un retrait progressif des troupes israéliennes de Gaza.
PHOTO : Getty Images / -
Pendant ce temps, les bombardements se poursuivent dans le territoire de Gaza, tuant six civils dans la région de Rafah près de la frontière égyptienne. Selon ce que rapporte le ministère de la Santé palestinien, deux médecins gazaouis auraient aussi succombé à la torture durant leur détention par l’armée israélienne. Un d’entre eux était Adnan Al-Bursh, chirurgien et responsable de l’aile orthopédique du plus gros hôpital de la bande de Gaza, détenu depuis décembre.
PHOTO : Tiktok
(Il s’en est aussi pris à des policiers.)
C’est le nombre de mois que doit passer Germain Lemay derrière les barreaux pour l’ensemble des crimes qu’il a commis l’automne dernier, dont celui d’avoir menacé de mort le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, et le premier ministre du Québec, François Legault, par l’entremise des réseaux sociaux. Il a déjà purgé 271 jours de détention préventive qui seront déduits de la peine prononcée vendredi.
PHOTO : Radio-Canada / Martin Bilodeau
En janvier dernier, l’homme de 30 ans a reconnu avoir menacé de mort les premiers ministres, mais aussi un policier et un agent de la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité au travail (CNESST). Il a également plaidé coupable d'avoir menacé de brûler ou de détruire un bureau de la CNESST et d'avoir entreposé des armes à feu illégalement.
Germain Lemay a tenté de se défendre concernant les chefs d’accusation, dont un premier de port d'armes dans un dessein dangereux, et un autre pour avoir braqué une arme à feu sur un policier. Il a été reconnu coupable en avril pour ces deux infractions.
La sentence de 20 mois d’emprisonnement donnée par la juge Claire Desgens vendredi était celle proposée par la Couronne. Les effets des actes de Germain Lemay sur les victimes ont été considérés comme des facteurs aggravants. La juge a rappelé que les commentaires comme ceux diffusés par M. Lemay sur les réseaux sociaux « n’avaient pas leur place ».
CLAIRE DESGENS
Juge de la Cour du Québec
PHOTO : Getty Images / Rich Fury
PHOTO : AFP / (Tolga Akmen/AFP/Getty Images)
Les utilisateurs de TikTok pourront à nouveau accompagner leur vidéo par des morceaux de Drake et de Billie Eilish. Après trois mois de négociations ardues, le réseau social et la maison de disques Universal Music Group (UMG) en sont venus à un accord d’utilisation et de diffusion de ces chansons.
En janvier, Universal Music Group, qui détient les droits sur de nombreux artistes célèbres, dont Drake et Billie Eilish, avait décidé de retirer tous ses contenus de TikTok, car les deux entreprises n'étaient pas parvenues à renouveler leur accord de licence. TikTok proposait une compensation financière jugée insuffisante par UMG. La situation a persisté jusqu'au 2 mai, où un nouvel accord a été conclu.
Les deux parties n'ont pas dévoilé les termes financiers de ce nouveau contrat. Cependant, le nouvel accord prévoit d’utiliser la technologie du réseau social pour améliorer la rémunération des artistes. On souhaite également développer de nouvelles possibilités de monétisation de la musique des artistes représentés par UMG, notamment à travers la vente de billets via la plateforme TikTok.
Universal reprochait également à TikTok de ne pas protéger les artistes face à l’intelligence artificielle (IA). Les deux parties ont convenu d’encadrer l’utilisation de l’IA sur TikTok et de retirer tout contenu généré par l’IA sans autorisation.
Avant cette entente, Taylor Swift était devenue en avril la seule artiste UMG dont les chansons pouvaient être utilisées sur TikTok. Peu de détails ont été révélés sur cet accord conclu en parallèle.
PHOTO : Getty Images / DAVID GRAY
PHOTO : getty images/istockphoto / lukbar
PHOTO : getty images/istockphoto / Galeanu Mihai
De nouvelles lois, au Royaume-Uni, interdisent aux fabricants de vendre des appareils connectés à Internet dont le mot de passe par défaut est jugé trop faible (et que trop souvent, les consommateurs négligent de changer). Des mots de passe comme admin, password et 12345 sont considérés comme trop faciles à deviner et peuvent s’avérer une porte d’entrée pour les pirates informatiques.
C’est ce que les appareils vendus devront avoir par défaut, ou encore il devra être défini dès le départ par leur propriétaire. Et si celui-ci choisit un mot de passe jugé trop faible, le fabricant devra l’encourager à en choisir un plus robuste, en y intégrant des caractères spéciaux, par exemple.
JONATHAN BERRY
Ministre britannique des Sciences, de l’Innovation et des Technologies
Ou 10 millions de livres sterling, c’est le montant que peuvent atteindre les amendes imposées aux entreprises qui ne respecteront pas cette nouvelle législation.
PHOTO : iStock
Dans une maison, beaucoup d’appareils connectés à Internet (cafetière, réfrigérateur, laveuse, etc.) ne contiennent pas de données personnelles, mais sont potentiellement vulnérables. Un malfaiteur pourrait par exemple pirater un de ces appareils pour accéder au réseau sans fil de la demeure et en infiltrer d’autres plus sensibles, comme un ordinateur ou un téléphone. D’où l’importance de bien protéger les objets connectés en apparence inoffensifs.
Le Canada n’a pas, pour le moment, de législation qui vise précisément les objets connectés. Un cadre réglementaire entourant l’intelligence artificielle est toutefois en cours d’élaboration, et pourrait entraîner des modifications à son cadre législatif qui touche les produits de consommation.
PHOTO : Radio-Canada / Manuel Carrillos Avalos
La CSN tente de créer un syndicat national
PHOTO : Radio-Canada / Denis Wong
Une campagne pour la syndicalisation de l’ensemble de l’industrie du jeu vidéo au Québec, orchestrée par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) et l’organisme international Game Workers Unite, a créé la surprise dans plusieurs studios de la province mercredi.
FÉLIX PRÉGENT
Chef des opérations d’Astrolabe Interactive
PHOTO : Astrolabe Interactive
Entre les vagues de licenciements, la baisse d'investissements dans les projets vidéoludiques et le récent budget Girard au Québec, qui prévoit une réduction des crédits d’impôt pour ce secteur, les prochaines années s’annoncent compliquées pour les studios de la province et leurs 15 000 travailleurs et travailleuses. Les directions de certains studios craignent que la syndicalisation accentue leurs difficultés.
MICHEL MONY
Directeur du studio Cathar Games à Québec
C’est la proportion de personnes dans l'industrie du jeu vidéo au Québec qui recommanderaient leur employeur à leur entourage, d’après une étude menée auprès de 520 travailleurs et travailleuses en 2023. Ces 10 dernières années, les conditions de travail dans ce milieu se sont « énormément améliorées », insiste Christopher Chancey, du studio ManaVoid, qui admet s’inquiéter de « la lourdeur administrative des syndicats ».
JEAN-JACQUES HERMANS
Directeur de la Guilde du jeu vidéo du Québec
PHOTO : Radio-Canada / Andréanne Larouche
PHOTO : Suaq Project/Armas
Des scientifiques ont vu un orang-outan de l’île de Sumatra, en Indonésie, soigner lui-même une blessure à l’aide d’une plante aux vertus médicinales. Il s’agit de la première observation d’un tel comportement chez un grand singe à l’état sauvage.
PHOTO : Scientific reports
PHOTO : Scientific reports
Rakus, un mâle d’une trentaine d'années, avait une vilaine plaie au visage. Les chercheurs l’ont observé en train de mâchouiller les feuilles d’une liane aux propriétés analgésiques. Il a d’abord appliqué, avec ses doigts, du jus de la plante sur la plaie. Il a ensuite pressé les feuilles mâchées contre la blessure. Cinq jours plus tard, la plaie était refermée. Deux semaines après, la cicatrice était à peine visible.
Cette seule observation ne permet pas de conclure que ce comportement est répandu chez les orangs-outans, souligne le biologiste Jacobus de Roode, qui n’a pas pris part à l’étude. « Mais c'est souvent en partant d'une seule observation qu'on découvre de nouveaux comportements. »
PHOTO : SUAQ PROJECT/ARMAS/Safruddin
Selon la primatologue Isabelle Laumer et la biologiste Caroline Schuppli, qui ont pris part à l’étude, il est probable que Rakus ait touché sa plaie avec ses doigts empreints du jus de la plante sans avoir l’intention de se soulager, mais qu'après avoir ressenti l’effet analgésique de la plante, il ait pris la décision de poursuivre son traitement avec un cataplasme.
D’après la Dre Schuppli, le fait que des primates puissent traiter activement une blessure de cette façon, comme les humains, porte à croire que « notre dernier ancêtre commun utilisait déjà des formes semblables de traitement à l'aide de pommades ».
PHOTO : Radio-Canada
PHOTO : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Cette semaine, des étudiants ont continué d'ériger ou d'occuper des campements dans diverses universités d'Amérique du Nord pour protester contre la guerre à Gaza, entraînant parfois des affrontements avec la police. Jeudi, le premier ministre du Québec, François Legault, ainsi que le président des États-Unis, Joe Biden, ont pris la parole pour appeler au calme.
PHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Sous prétexte que « la loi [doit] être respectée », le premier ministre François Legault a demandé à la police de démanteler le campement propalestinien à l’Université McGill, à Montréal, qu’il a qualifié d’« illégal ». Le premier ministre a précisé qu'il allait laisser les policiers décider du moment et de la manière dont ils allaient procéder.
« Je m’attends à ce que les policiers défassent ces campements-là. C'est ce que [l'Université] McGill a demandé », a dit Legault, bien que la Cour supérieure ait rejeté, mercredi, une demande d'injonction visant à limiter les manifestations sur le campus.
PHOTO : Radio-Canada / Ivanoh Demers
PHOTO : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Des manifestants pro-palestiniens poursuivent néanmoins leur mouvement de protestation jeudi sur le terrain de l'Université McGill. En face du campus, de l'autre côté de la rue, des contre-manifestants pro-israéliens étaient regroupés, certains vêtus de gilets pare-balles, laissant planer un risque d’escalade. Des policiers étaient postés de manière à séparer les deux groupes.
PHOTO : AP / Evan Vucci
Le chef d’État américain a tenu des propos similaires à son homologue québécois concernant le démantèlement du campement propalestinien sur le campus de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Prêchant « l’ordre avant tout », le président Joe Biden a rappelé que les États-Unis « ne sont pas un pays sans loi » et qu’il ne tolérerait aucun discours haineux.
C’est le nombre de personnes qui ont été arrêtées jeudi lors du démantèlement du campement propalestinien sur le campus de l'UCLA. Les policiers ont fait usage de gaz et de projectiles non létaux, semblables à des balles de caoutchouc, pour se frayer un chemin à travers le campement, où les manifestants faisaient front pour résister à leur expulsion.
PHOTO : Associated Press / Craig Ruttle
D'autres interventions policières ont aussi été menées dans des campus jeudi, notamment au Texas, où 17 personnes ont été arrêtées lors du démantèlement d'un campement à l'Université du Texas à Dallas. Hier, à New York, la police a arrêté plus de 300 manifestants propalestiniens qui occupaient un immeuble du campus de l'Université Columbia.
PHOTO : Radio-Canada / Julien B. Gauthier
Et ça se passe (entre autres) au Québec, où c’est légal en ce moment.
C’est le nombre de nanogrammes de substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées – communément appelées les (PFAS) – par litre d’eau traitée rejetée au Québec. C’est 66 fois plus que la limite visée par Santé Canada pour l’eau potable. Pourtant, Québec n’impose aucune norme pour ces contaminants qui comportent des risques pour la santé publique et l’environnement.
PHOTO : Radio-Canada / Thomas Deshaies
C’est ce qui est mis en lumière dans une étude menée par le ministère de l’Environnement, qui a mesuré la quantité de contaminants dans des rivières et des fossés situés près de 8 dépotoirs au Québec, de 2019 à 2021. On sait que ces derniers déversent généralement leurs eaux usées et le lixiviat (jus de poubelle) dans les cours d’eau à proximité de leur territoire.
PHOTO : Radio-Canada
Les rapports d’analyse permettent de conclure qu’aucun système de traitement des eaux usées des huit dépotoirs étudiés ne parvient à éliminer tous les PFAS. Ces contaminants proviennent généralement des poêles antiadhésives ou encore de la peinture.
Les résidences s’alimentant en eau par des puits privés à proximité des huit dépotoirs étudiés devraient faire analyser l’eau de leur puits, conseille le professeur Sébastien Sauvé. Une situation similaire en Estrie a récemment poussé la Direction de la santé publique à recommander à des citoyens de cesser de boire l’eau en raison de la présence de PFAS.
SÉBASTIEN SAUVÉ
Professeur en chimie environnementale, Université de Montréal
PHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
PHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Québec solidaire vit une semaine très mouvementée à l’intérieur même de son parti. Démission de la co-porte-parole, Émilise Lessard-Therrien, nomination de sa successeure par intérim, Christine Labrie, et sortie publique de Gabriel Nadeau-Dubois (GND) qui insiste sur la nécessité pour QS de devenir « un parti de gouvernement ». De quoi perdre le fil. On démêle tout ça.
C’est une formation politique préparée à assumer des responsabilités exécutives. Pour ce faire, le co-porte-parole de Québec solidaire (QS), Gabriel Nadeau-Dubois (GND), propose de moderniser le programme et la structure de QS pour le rendre plus « efficace » et « agile », afin de se préparer à gouverner le Québec.
GABRIEL NADEAU-DUBOIS
Co-porte-parole de Québec solidaire
PHOTO : La Presse canadienne / Ryan Remiorz
Cette proposition fait suite à la démission lundi de la co-porte-parole féminine du parti, Émilise Lessard-Therrien. Plusieurs militants ont critiqué le peu de visibilité dont elle jouissait au sein de QS, contrairement à GND. C’est le cas d’Élisabeth Labelle, bras droit d'Émilise Lessard-Therrien durant sa campagne en novembre, qui a démissionné à son tour, dénonçant « une couverture non paritaire » entre les deux co-porte-paroles.
PHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Plusieurs députés de QS ont par contre affiché leur soutien à GND, tout en exigeant du changement dans le parti. « Ce qui va être important, maintenant, c’est de prendre acte de ce qu’[Émilise Lessard-Therrien] nous a dit [et] faire les bilans qui s’imposent. J’ai confiance en notre parti [et je crois que] des changements vont être faits », a affirmé la députée Ruba Ghazal.
PHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Jeudi matin, Christine Labrie a été nommée co-porte-parole féminine intérimaire. « J’avais envie d’être en support pour notre organisation », dit-elle, précisant que c’est « une période de transformation importante qui s’annonce » pour Québec solidaire. Christine Labrie a déjà indiqué ne pas avoir l’intention d’occuper ce poste en permanence. Le prochain conseil national de QS est prévu à la fin mai à Jonquière.
PHOTO : Radio-Canada / Mélanie Picard
C’est le prix (4,1 millions en dollars canadiens) de la plus haute transaction de l’histoire du jeu de cartes Magic : The Gathering. C’est la carte Black Lotus Alpha qui a été vendue à un tel prix.
PHOTO : Instagram Benjamin Be
La vente record s'est déroulée entre Adam Cai de Pristine Collectibles et un acheteur mystérieux qui préfère garder l’anonymat. Certains adeptes de Magic pensent que l’acheteur est Benjamin Be, un collectionneur connu sur les réseaux sociaux. À travers son compte Instagram, il montre son importante collection du jeu, ce qui porte à croire qu’il pourrait être l'acheteur de cette fameuse carte.
PHOTO : Christopher Rush
La Black Lotus Alpha est l’une des plus rares de la collection Magic : The Gathering, mais elle est surtout extrêmement difficile à trouver en bon état, puisque le jeu a plus de 30 ans. La compagnie CGC Cards l’a classée « Pristine 10 » (le meilleur état), ce qui fait d’elle la plus unique de sa catégorie. C’est ce qui explique que les enchères pour se la procurer sont si élevées.
ADAM CAI
Vendeur de la carte Black Lotus Alpha
PHOTO : Radio-Canada / Soumise par : Brook Trafton
Jusqu’à cette transaction, c’est le populaire rappeur Post Malone, également adepte de Magic, qui avait acheté la carte la plus coûteuse de l’histoire du jeu. En août 2023, il s’est emparé d’une carte inspirée de la saga du Seigneur des anneaux au prix de 2 millions de dollars américains (2,8 M$ CA). D’ailleurs, Post Malone possède lui aussi une Black Lotus Alpha achetée pour 800 000 $ US (1,1 M$ CA).
Revenez plus tard ou téléchargez l’appli RC Info iOS pour consulter les brèves des derniers jours.
Télécharger l’appli RC Info(Nouvelle fenêtre)