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Adolescente en fugue.
La réalité des familles d'accueil est complexe.PHOTO : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Publié le 25 avril 2024

S'il n'en tenait qu'à Me Valérie Assouline, il faudrait créer un protecteur de l'enfant qui aurait l'indépendance et la marge de manœuvre nécessaires pour mieux protéger les enfants sous la tutelle de la Direction de la protection de la jeunesse dont les droits ont été bafoués.

Me Assouline défend actuellement deux femmes qui ont subi des abus sexuels dans leur famille d’accueil respective.

Elle explique comment elle a été choquée d’apprendre que sa plus jeune cliente, agressée durant la majeure partie de son enfance, a obtenu un avis de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) indiquant qu’elle n’avait jamais subi de lésion de droit.

L’avocate déplore que la CDPDJ fasse preuve d’une compréhension fautive du concept de lésion de droit alors qu’une jurisprudence existante peut aider en ce sens.

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