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Début du contenu

Robert Bourassa, le premier ministre, audionumérique.

Robert Bourassa, le premier ministre

  • Les jeunes années

    Ce premier épisode nous fait revivre les moments importants de la jeunesse de Robert Bourassa : ses études, la mort de son père, ses emplois d’été, son intérêt pour la politique et son mariage avec Andrée Simard. En 1966, Robert Bourassa se présente dans le comté de Mercier. Le Parti libéral perd l’élection. Cette défaite provoque une remise en question au sein du parti.
  • Le député de Mercier devient premier ministre

    En 1970, Robert Bourassa a 36 ans. Cette année-là, il est élu chef du Parti libéral, puis premier ministre. Bourassa, l’anti-politicien, se présente comme un « jeune administrateur compétent ». La campagne libérale, très bien organisée, tourne autour d’un slogan : « 100 000 emplois », pour mettre en évidence la priorité économique.
  • La crise d’Octobre

    Robert Bourassa apprend l’enlèvement de Pierre Laporte, ministre du Travail et vice-premier ministre. Cet épisode rend compte de l’atmosphère qui règne au Conseil des ministres, reclus, durant quelques jours, à l’hôtel Le Reine Elizabeth et de l’effet qu’a eu la lettre de Pierre Laporte sur le premier ministre. Des collaborateurs de Robert Bourassa et des hommes politiques racontent.
  • Bourassa affronte Trudeau, les syndicats et l’électorat

    En 1972, un front commun de syndicats défie le gouvernement. L’enjeu : 100 $ par semaine pour tous les employés de l’État. Le front commun décrète la grève générale illimitée. Le gouvernement impose le retour au travail et les trois chefs syndicaux sont condamnés à un an de prison. Bourassa s’inquiète de l’image du Québec à l’étranger. En 1973, il déclenche des élections anticipées.
  • Bourassa, les Cris et les anglophones

    Devant 6 000 partisans, Robert Bourassa lance au Colisée de Québec la grande aventure de la baie James. La façon dont cette annonce est faite lui vaut de nombreuses critiques. Parmi ceux qui auraient souhaité l’apprendre autrement, il y a les Cris de la baie James. Cet épisode rappelle les relations difficiles de Bourassa avec les autochtones, l’injonction du juge Malouf et le saccage du chantier.
  • Le premier départ

    En 1976, la tenue des Jeux olympiques à Montréal est incertaine. Robert Bourassa lance l’opération « récupération » pour préserver la réputation du Québec. Les Jeux sont sauvés, mais le déficit sera très lourd. Bourassa décide de tenir des élections anticipées. La campagne est une catastrophe, le message ne passe pas. Face à la victoire du Parti québécois, Robert Bourassa, ému, annonce son départ.
  • Le retour en force

    Défait en 1976, Robert Bourassa s’exile à Bruxelles pour étudier l’Union européenne en construction. Il rentre au pays deux ans plus tard. Puis, c’est le référendum de 1980. Bourassa prépare sa rentrée en scène. En 1981, le Parti libéral perd les élections. Claude Ryan démissionne. Bourassa se présente à la course à la chefferie. Avec 75 % des voix, il redevient le chef du Parti libéral.
  • La perte de confiance des anglophones

    Dans cet épisode, il est question de la relation de confiance entre Robert Bourassa et Brian Mulroney et des négociations qui ont précédé l’entente du lac Meech. Robert Bourassa veut trouver un compromis qui satisfait le Québec. Il croit que Meech est ce qu’il faut au Québec et que cela va permettre de neutraliser le mouvement souverainiste.
  • Après Meech et pendant Oka

    L’accord du lac Meech est mort. Déçu, Robert Bourassa se fait le défenseur des aspirations de la majorité des Québécois. Le matin du 11 juillet 1990, la Sûreté du Québec tente de prendre le contrôle de la pinède d’Oka et un policier est tué. L’intervention ratée de la Sûreté du Québec donne une tout autre dimension à ce conflit mineur entre les Mohawks et la municipalité d’Oka.
  • Le premier ministre s’en va

    L’échec de l’accord du lac Meech a secoué les libéraux. Le comité Allaire étudie une nouvelle politique constitutionnelle. Bourassa annonce à ses députés, à ses ministres, aux journalistes et à la population qu’il s’est fait traiter pour une tumeur maligne. Ses proches se rappellent les dernières années de sa vie.