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Les incontournables portraits d'auteurs audionumérique.

Les incontournables : portraits d'auteurs

  • Michel Tremblay, révolutionnaire malgré lui

    Michel Tremblay, l'écrivain chouchou des Québécois, est un auteur prolifique. Mais s'il n'avait pas été avant tout un ado avec des problèmes, il ne serait jamais devenu écrivain. Voilà l’une des confidences qu’il livre à l’animatrice Marie-Louise Arsenault lors de cette grande entrevue où il revient, entre autres, sur l’usage du joual dans ses livres et sur son œuvre-phare, Les belles-sœurs. Il révèle notamment que, pour la première fois en 40 ans, il se trouve sans projet.
  • Dans la bulle de Michel Rabagliati

    « Peu importe que tu racontes des histoires de toaster, de pyjama ou de couple, il faut que ce soit captivant », explique Michel Rabagliati, l'auteur de la fameuse série des Paul, une autofiction en bande dessinée. Au cours de cette grande entrevue, il parle de son univers romanesque, marqué par les tranches de vie de son attachant personnage-miroir. S’il pratique l’autofiction, Rabagliati inscrit toujours ses personnages dans les grands événements de notre histoire collective.
  • Kim Thúy, écrivaine par accident

    « Je n'ai jamais pensé que je pouvais écrire; l'écriture est arrivée accidentellement », explique Kim Thúy au cours de cette longue entrevue. L’auteure, d’origine vietnamienne, raconte son enfance, qu’elle trouve plate, et les séquelles de la guerre. Encore aujourd’hui, elle porte en elle la culpabilité d’avoir survécu. « Si je vis chacune des minutes de façon aussi intense, c'est parce que je n'ai pas le droit de les gaspiller. »
  • Dany Laferrière, écrivain universel

    Désormais immortel, puisque membre de l’Académie française, l’écrivain Dany Laferrière fait à la fois figure de sage et de fou. Il le démontre bien au cours de cette longue entrevue au cours de laquelle il revient sur son enfance haïtienne et sur son arrivée au Québec, en 1976. Il raconte ensuite l’histoire de son succès littéraire, avant d’aborder des thèmes plus larges tels que l’exil, la mort et la condition humaine.
  • Jean-Paul Daoust : « La poésie a failli avoir ma peau »

    Le terme « flamboyant » semble avoir été créé pour définir Jean-Paul Daoust. Auteur d’une trentaine de recueils de poésie et de deux romans, le poète confie au cours de cette longue entrevue quelques-uns des moments les plus marquants de son existence. Il revient notamment sur les viols répétés qu’il a subis durant l’enfance et qui ont mené à l’écriture des Cendres bleues. Il aborde également sa vision de la littérature et son rapport essentiel à l’acte d’écrire.
  • Patrick Sénécal, le raconteur d’histoires

    L’auteur, connu pour ses romans noirs et d’horreur, reconnaît au cours de cette longue entrevue qu’il s’intéresse à « ce que l’humain fait de pire ». Cette littérature très sombre contraste pourtant avec sa réputation de joyeux luron. « Le bonheur est assez ennuyant en général. C'est l'fun à vivre, mais ça ne fait pas de très bonnes histoires », admet-il. Il revient également sur sa propre histoire personnelle et sur ce qui l’a mené à l’écriture.
  • Marie Laberge : la passion, que de la passion

    L'écrivaine la plus lue du Québec vit très bien avec le succès, et n'en tire aucune vanité. Elle fait ce qui est important à ses yeux. Une chose est sûre, c'est une vedette médiatique qui entretient une relation privilégiée avec ses lecteurs. L’animatrice Marie-Louise Arsenault rencontre une auteure qui parle d'abondance, qui répond du tac au tac et qui raconte les étapes de sa vie avec une grande générosité.
  • Gérard Bouchard, l’historien amoureux du Saguenay

    Surtout connu comme universitaire et intellectuel, Gérard Bouchard s’est aussi adonné à la littérature, dont il est abondamment question au cours de cette longue entrevue. Il aborde notamment sa passion pour la région du Saguenay, dont il est originaire, et de laquelle il s’est inspiré pour son premier roman, Mistouk. Il parle également des mythes qui structurent la société québécoise.